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J’ai commencé ma carrière à la Société Générale il y a 30 ans. Je me suis syndiqué auprès d’une organisation mais deux ans plus tard j’ai préféré rejoindre FO Société Générale. J’y ai adhéré car je trouvais écœurantes les différences qu’il pouvait exister entre les employés, les agents de maîtrise et les cadres; différences non seulement salariales mais aussi au niveau du respect du responsable hiérarchique. Hélas, j’ai très vite déchanté: mon premier syndicat n’était pas à la disposition du salarié mais à la disposition de la direction et signait tous les accords que lui présentait celle-ci sans se poser de question et sans demander aux militants de base ce qu’ils en pensaient ; c’est donc pour cela que j’ai préféré changer de syndicat.

Chez FO Société Générale, j’ai trouvé des équipes de grandes valeurs, de grande compétence, ayant suivi les stages de formation Délégué du Personnel, de C.H.S.C.T (Conditions d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail), de C.E (Comité d’Entreprise), des stages supplémentaires sur le droit du travail et sur l’économie. J’avais, en face de moi, des personnes responsables qui savaient de quoi elles parlaient et qui connaissent le milieu professionnel.

J’y ai rencontré des personnes ayant fait des choix  politiques différents mais, lors des réunions ou de la préparation des tracts, aucune allusion à la politique n’était faite car nous étions présents pour faire du syndicalisme, rien d’autre en défendant l’intérêt du salarié.

J’y ai rencontré la démocratie: aucun accord n’est signé par la Déléguée Syndicale Nationale sans un vote majoritaire des adhérents: cela me change énormément de mon précédent syndicat.

J’y ai rencontré des élus ne travaillant que pour faire respecter les droits de leurs collègues,  pour améliorer leurs conditions de travail, pour les aider à être heureux durant leurs activités professionnelles.

J’y rencontre, maintenant, des jeunes qui ouvrent ce syndicat sur les différents réseaux sociaux pour être non seulement encore plus à l’écoute des salariés mais aussi pour être encore plus réactifs à leurs demandes.

Je suis fier de faire parti de ce syndicat. Je n’attends que vous pour défendre de cette manière vos revendications.

Alors qu’attendez-vous pour  me rejoindre?