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Le 3 Juillet 2014, le Comité Central d’Entreprise (CCE) a décidé des orientations des vacances familles et enfants pour 2015.

Lorsque le sujet des vacances familiales a été abordé, FO Société Générale a refusé toute augmentation de tarif. En effet, notre décision s’appuie sur l’état des disponibilités financières du CCE et sur l’absence des augmentations collectives issues des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) depuis 3 ans. En parallèle, pour faire échos à vos demandes, FO Société Générale a proposé de permettre les inscriptions à la semaine, en donnant toutefois un caractère prioritaire aux réservations de 2 semaines consécutives sans module fixe. De  plus, nous souhaitions appliquer une réduction de 50% (par rapport au tarif rouge) sur la première semaine du mois de juillet et sur la dernière semaine du mois d’août.

Ces évolutions permettaient, entre autres :

– de répondre aux problèmes économiques rencontrés par de plus en plus de familles,

– de faciliter la prise de congés dans les agences et dans les services,

– de répondre plus facilement à des problématiques de garde d’enfant alternée,

– une meilleure adaptation avec les dates des séjours enfants.

Concernant ce dernier sujet, une majorité des Organisations Syndicales représentées au CCE ont accepté la proposition que nous avons formulée. De ce fait, une étude comparative entre les séjours de 14 et de 21 jours sera effectuée pour répondre à vos attentes et ainsi éviter une augmentation tarifaire des séjours. Le résultat de cette étude devra permettre de choisir la meilleure formule dans votre intérêt et celui de vos enfants.

Malheureusement, une majorité des Organisations Syndicales a refusé les évolutions demandées par FO Société Générale concernant les vacances familles. Elles ont donc voté l’augmentation des tarifs pour 2015 qui se traduira par une hausse de 6% sur le tarif minimum.

Et vous, est ce que vous avez souscrit aux séjours proposés par le CCE ? Que votre réponse soit positive ou négative, expliquez nous pourquoi. Cela pourra nourrir nos futurs débats !