Une salariée a sollicité un représentant FO Société Générale pour être assistée lors de sa demande de travail à temps partiel à 90%. En effet, travaillant sur un régime de 37H22 par semaine, elle souhaitait prendre son samedi matin pour des raisons personnelles.

Pour FO Société Générale, sa demande étant légitime, nous l’avons accompagnée dans sa démarche.

Ainsi, nous avons sollicité une réunion pour avertir la Direction du souhait de la collaboratrice et pour rappeler également les accords existants à la Société Générale sur le temps partiel.

A la suite de cette rencontre, la salariée a formalisé sa demande par écrit et un nouvel entretien a été sollicité auprès de la Direction. A cette occasion, les Ressources Humaines locales nous ont notifié oralement qu’elles étaient enclin à donner un accord exceptionnel à ce dossier.

Cependant, une semaine plus tard, elle s’est rétractée en convoquant directement la salariée sans prendre le soin de nous inviter également; voire de nous consulter. En effet, ne pas travailler le samedi matin impliquerait que l’employée serait sur un temps partiel à 88% et non pas 90%. Elle lui propose donc de faire une nouvelle demande de travail à temps partiel à 80%, ce que la salariée a fait.

Informée de la situation, l’organisation FO Société Générale a pris du recul et a décidé de solliciter ses représentants à la commission Egalité Professionnelle et Questions Sociales du Comité Central d’Entreprise. C’est ainsi que la Direction des Ressources Humaines du Groupe nous a confirmé que la demande initiale était recevable.

Forts de ce retour, avec l’accord de la collaboratrice nous sommes intervenus pour bloquer la nouvelle demande de temps partiel et revenir à la sollicitation initiale.

Grâce à sa pugnacité, FO Société Générale a réussi à obtenir gain de cause pour la salariée.

Vous qui nous lisez, si vous êtes dans la même situation, contactez nous ou laissez nous vos réactions.